Nîmes, du n°1 au n°99 !
Nina Jericek, actuelle 2è meilleure buteuse de LFH, porte le n°99 depuis son arrivée à Nîmes. Savez-vous pourquoi ?
Nicky Houba, n°1. Je porte le numéro 1 depuis que j’ai pris ma place dans les buts il y a à peu près 20 ans maintenant, car le gardien n’avait pas encore le choix de numéro à cette époque (c’était le 1 ou le 12) ! Et comme mes parents portaient aussi le 1, c’était plutôt une évidence.
Maureen Marchal, n°2. Je ne sais plus la raison de mon numéro, par contre j’ai voulu le garder toute ma carrière.
Johanna Lombardo, n°5. Mon beau père, qui m’a initiée au handball, était à la fois mon entraîneur et un joueur. Du coup, il m’a paru normal de choisir son numéro, le numéro 5 !
Jane Charbonnel, n°6. Aucune signification particulière, c’est une habitude que j’ai prise en arrivant à Nîmes.
Cindy Champion, n°7. J’ai choisi ce numéro car c’est le numéro porte bonheur de mon grand frère, et que le n°2 était déjà pris.
Delphine Carrat, n°9. J’ai choisi le numéro 9 car mon père jouait lui aussi avec ce numéro.
Camille Ayglon, n°11. Je suis vraiment très attachée à mon numéro. J’ai le numéro 11 depuis quasiment le début de ma carrière… que se soit à Metz ou à Nîmes, je l’ai toujours conservé. Avec l’équipe de France, lorsque je suis arrivée, Stéphanie Cano avait déjà le numéro 11, et Maakan Tounkara qui était déjà en équipe de France, elle aussi souhaitait aussi ce numéro… il y avait une vraie liste d’attente !
Du coup, on m’en a proposé d’autres et j’ai choisi le numéro 5. Plus tard lorsque le numéro 11 a été à nouveau libre, on me l’a proposé, mais ma belle aventure avec les Bleues avait bien commencé avec ce numéro 5, j’ai donc décidé de le garder…
Laurie Carretero, n°12. Pour moi, le numéro 12 n’a pas de signification d’un côté, et d’un autre, si. Je m’explique (sourires). La première fois que je l’ai porté, il n’avait aucune signification, car en temps normal je portais le numéro 1, c’était juste pour un remplacement. Mais oui, depuis ce jour la les matches qui ont suivi, il est devenu significatif, déjà après avoir joué un match important en sélection nationale avec ce n°12, puis c’est un numéro que j’aime bien tout de même, il pourrait signifier d’autres choses plus personnelles aussi.
Blandine Dancette, n°13. En France jeune pour la première sélection, on nous a donné des maillots en fonction de nos tailles, et on m’a donné le 13 ! J’étais contente car j’avais fait un bon match et depuis je demande le 13 ! Mais la je vais peut être changer vu l’année 2013 compliquée que j’ai passée.
Camille Asperges, n°17. Le numéro 17 est le numéro de maillot de mon premier entraîneur de handball Christophe Serrano du club de Trèbes ou j’ai débuté.
Priscilla Marchal, n°18. Quand je suis arrivée à Nîmes et donc dans le même club que ma sœur (Maureen Marchal), j’ai dû changer de numéro et par conséquent j’ai pris le numéro préféré de mon autre sœur, le 18.
Charlène Clavel floquée du numéro 21.
Charlène Clavel, n°21. Le numéro 21, parce que c’est tout simplement mon jour de naissance. Un numéro que je porte dans le dos depuis mes débuts.
Maja Son, n°23. Je suis une personne qui aime les contes de fées, c’est pourquoi mon premier choix pour le numéro de maillot serait le numéro de la chance, le numéro 7 (ou 77 – la double chance) mais les deux numéros étaient déjà pris quand je suis venue à Nîmes. J’ai donc choisi le numéro 23 car je suis née le 23 février.
Marina Pantic, n°27. Je n’ai pas de raison spéciale, c’était juste intéressant pour moi ce numéro.
Asma El Ghaoui, n°66. L’histoire de 66 n est pas venue par hasard vu qu’en Tunisie je jouais avec le 6, mon numéro préféré, celui de mon idole Issam Tej avec qui je partage les mêmes principes sur terrain. A savoir la notion d’appartenance au maillot porté, se donner à fond durant 60 minutes, jouer avec un coeur de lion et l’amour de la patrie.
En arrivant à Nîmes, vu que le 6 est déjà pris et vu que j’estime que je suis passée a un niveau supérieur par ce passage entre le championnat tunisien et le championnat français, j’ai doublé le chiffre 6 en portant deux 6, le 66.
Klara Cerna, n°85. Normalement je choisis le numéro 10 ou 13. Mais à Nîmes c’était impossible, du coup j’ai pris le 85 qui est mon année de naissance.
Madeleine Boudard, n°97. Je joue avec le 97 mais mon numéro préféré est le 9. Étant donné qu’il est toujours pris, j’ai voulu changer. Mon copain portait le numéro 7 mais il a du arrêter le hand. Je me suis dis pourquoi pas lui faire plaisir et me faire plaisir avec ces 2 numéros ! Voilà pourquoi j’ai pris le 97 !
Nina Jericek, n°99. j’ai le numéro 99 car le numéro 9 était déjà pris par une autre joueuse. J’ai le numéro 9 en équipe nationale et c’est pour cela que je pris le 99. C’est un peu similaire et comme le numéro 99 n’est pas souvent utilisé, aucune autre joueuse ne me le prendra.