UMB-B – le compte est bon ?
3 joueuses, dont Mireya Gonzalez, portent le n°99 dans le championnat de France.
Alice Durand, n°6. Le 6 est mon chiffre préféré, mais une de mes meilleures amies l’avait à Besançon et je n’ai jamais pu l’avoir… Dès que je suis arrivée à Mios, j’ai sauté dessus et maintenant je le garde !
Julie Foggea, n°97. Pour ma part, mon numéro est un petit clin d’oeil à mon département d’origine qui est la Guadeloupe… Bien sûr si j’avais droit à un troisième chiffre, j’aurais carrément choisi 971, mais ce n’est pas faute d’avoir essayé ! (sourires)
Noémie Lachaud, n°24. J’aime ce numéro pour deux raisons. Je suis née un 24, et je viens de Saint-Aulaye, en Dordogne, dont le numéro de département est le 24.
Elsa Deville, n°88. Moi c’est une erreur de Jean-Sébastien Lopez (son entraîneur à Bègles, ndlr). Au départ, je lui avais dit que je voulais le 8 ou le 33, or comme c’est Julie Lucas qui a le 8, il ne m’a pas mis le 33 mais le 88 (33 car c’est mon département).
Alice Levêque, n°21. Le 21 parce que c’est ma MARION ! (Limal) pour qu’elle soit toujours avec moi….(sourires)
Marion Maubon, n°27. J’ai toujours aimé le numéro 7. Quand je suis arrivée à Bègles, j’avais 18 ans, le 7 étais pris, le 17 aussi, j ai donc décidé de prendre le 27 et je l ai gardé depuis !
Alexandra Lacrabère, n°64. Juste pour ne pas oublier d’où je viens et faire un petit signe à mon pays ! (Alexandra est née à Pau, dans les Pyrénées-Atlantiques)
Laure Lewille et son n°10, une histoire à tomber par terre ?
Laure Lewille, n°10. Mon numéro c’est toute une histoire… Dés mon plus jeune âge je traînais déjà dans les salles de sport pour voir ma grande sœur jouer au hand. A cette époque elle portait le numéro 10 qui est sa date de naissance. C’est pourquoi quand j’ai commencé à pratiquer le handball à l’âge de cinq ans j’ai tout de suite porter le numéro 10, comme elle, car c’était mon modèle… Mais quand je suis arrivée en D1 il était déjà pris alors j’ai porté le numéro 9 quelques temps (qui était son deuxième numéro préféré mais aussi la date de naissance de mon père) avant de pouvoir enfin retrouver mon numéro 10 que je ne quitte plus…
Zivile Jurgutyte, n°3. Je l’ai depuis mes premiers pas au handball (quand j’étais petite à 10ans), et jusqu’à maintenant je ne change pas !
Petra Blazek, n°16. Je n’ai pas de raison particulière de porter ce numéro… Quand j’avais 16-17 ans, je suis passée de l’équipe 2 à l’équipe 1 d’Hypo… Il y avait deux autres gardiennes déjà, avec les numéros 1, et 12… alors j’ai pris le 16. Depuis ce moment-là, je n’ai jamais changé.
Céline Sénamaud, n°87. Le 87, tout simplement un petit clin d’oeil à mon département la Haute-Vienne.
Sabrina Ciavatti-Boukili, n°13. « Il y a une double raison ! D’abord parce que ma maman portait le 3… mais il n’était pas disponible alors j’ai pris le 13 ! Et 13, comme les Bouches-du-Rhone, là où j’ai commencé.
Mireya Gonzalez, n°99. Je porte le 99 parce que j’adore le 9, c’est le premier numero de maillot que j’avais la première année que je jouais au hand, et dès lors je n’ai pas voulu me separer de lui. Et le 99 est doublement 9, doublement bon !