Squad LFH – 5 chiffres clés sur le Chambray Touraine Handball

Cette semaine, le Chambray Touraine Handball se retrouve au coeur de notre dispositif Squad LFH, qui a pour but de mettre en lumière toutes les formations qui évoluent au sein de la Ligue Féminine de Handball. Pour la deuxième saison de son histoire au sein de l’élite du handball féminin français, le CTHB a dû faire face à de nombreuses blessures de joueuses cadres depuis le mois de septembre. Si les résultats ne sont pas forcément au rendez-vous, le collectif de Guillaume Marquès est toujours en lice dans la course aux playoffs à quatre journées de la fin de la phase régulière du championnat. Découvrez ci-dessous 5 chiffres clés sur le club tourangeau. 

A lire aussi : présentation du dispositif SquadLFH 

[6] Le nombre de nationalités représentées au sein du collectif du Chambray Touraine Handball. France, Portugal, Brésil, Tunisie, Hongrie, Espagne sont les nations présentes dans l’effectif de Guillaume Marquès. 

[6 BIS] Pour sa première saison en Ligue Féminine de Handball lors de l’exercice 2016-17, le Chambray Touraine Handball a terminé à la sixième place. Une performance remarquable pour le collectif de Guillaume Marquès, éliminé en 1/4 de finale des playoffs par le Brest Bretagne Handball. 

[10] Le nombre d’années qu’il a fallu au Chambray Touraine Handball pour accéder à la Ligue Féminine de Handball. Lors de la saison 2006-07, le CTHB évoluait alors en N3F, alors que l’exercice 2016-17 a vu le club tourangeau réaliser ses grands débuts au plus haut niveau du handball féminin français. 

A lire aussi : Chambray, de la N3F à la LFH en moins de 10 ans 

[148] Le nombre de buts inscrits la saison dernière en LFH par Mouna Chebbah, qui a terminé meilleure buteuse de l’exercice 2016-17. Une moyenne de 6,4 buts / match pour l’internationale tunisienne. 

[11 100] Le nombre (approximatif) d’habitants dans la ville de Chambray-lès-Tours, qui en fait l’une des plus petites représentées au sein de la LFH, avec Bourg de Péage (10 000). 

A lire aussi : l’interview de la capitaine du CTHB, Linda Pradel