Les Premières Fois de… Thomas Clerget

Responsable communication, marketing et événementiel de l’ASUL, Thomas Clerget gère notamment les diffusions de son club sur HandballTV. Un vrai engagement pour offrir des matchs de qualité au public, avec des moyens en progression et beaucoup d’énergie déployée. Des premiers pas à aujourd’hui, il raconte ses premières fois !

Je ne connaissais pas le monde du handball avant 2022. À ce moment-là, j’ai intégré, en service civique, le club de Bourg-de-Péage Drôme Handball. J’ai acquis une année d’expérience dans cette discipline qui n’était pas la mienne car je viens plutôt du foot. J’ai pu rencontrer pas mal de monde, lier des contacts. Après une autre expérience entre les deux, cela m’a permis un an plus tard d’intégrer l’ASUL. J’ai donc commencé au club en 2023. Et mon premier jour, cela a surtout été de la découverte (sourires) avec mon ancien responsable Jules Jacquet qui était un peu le couteau suisse de l’ASUL. Il m’a présenté toute l’identité du club, l’aspect com, les déroulés événementiel des matchs… et puis c’était parti ! Et au fur et à mesure, j’ai pris mes marques au club, auprès des coachs et des joueuses.

C’est drôle car c’était un match délocalisé aux Gratte-Ciel de Villeurbanne … et que ça n’a pas été facile à gérer. J’avais mon responsable qui s’occupait de toute la partie évènementiel et de mon côté, je devais gérer la partie HandballTV. Et on n’a pas pu faire de live ! On s’était pourtant super bien préparé en avance mais comme on n’était pas chez nous, on a eu un problème de connexion sur place. C’était hyper décevant car j’avais hâte de faire ce premier match.

Je ne sais plus exactement car on a eu une bonne période de tests finalement avant de réussir à bien tout adapter, d’avoir le bon matériel, mais c’est vrai qu’au fur et à mesure on s’est bien amélioré, même si ça reste quelque chose que l’on peut développer encore plus. J’ai toujours envie de faire plus. On manque un peu de temps et de moyens techniques même si c’est super cool de pouvoir proposer aux fans – de l’équipe adverse qui ne peuvent pas venir, ou aux nôtres – de voir les matchs. Il y a une vraie volonté de diffuser du hand de qualité, même si parfois il y a des aléas que l’on tente de maîtriser de plus en plus avec le temps. Il y a toujours des petites broutilles à régler. Cette expérience apporte beaucoup. Il y a notre terrain et puis les formations dispensées par la LFH qui sont intéressantes aussi. On échange aussi beaucoup sur ce qui marche ou non. Aujourd’hui il y a de moins en moins de soucis techniques. Un point à souligner aussi, c’est que nos lives ne fonctionneraient pas sans nos bénévoles. On a des commentateurs qui viennent de l’école de journalisme de l’ISCPA. Ils sont passionnés par le sport et ils viennent régulièrement. Il y aussi l’école AMOS qui gèrent la partie régie.